La vie sans noir, les rues sans vert, la Loire sans reflets. La bretagne sans pastels.Un esprit ébène sans reliefs.
Suis-je horrifiée, l' eus-je été?
Le corps semble contrer les arbres avec l'informel cycle protecteur qu'infligent les mauvais maux.
L'esprit le coeur, le coeur l'esprit. Sans esprit, quel coeur, valeurs oubli, valeurs, quelles saveurs?
Pourquoi ne se tourne t'on jamais vers le soleil, pourquoi ne parvenons nous pas à s'immobiliser, simplement.
Un mot de trop et tout vacille, tout se dessine, se destine...
Suis-maître de mes graines ou infaillible de mes gangraines?
La douleur (à suivre si kelkun venait à être intérréssé, merci)